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Espaces Psychiatriques : des lieux paradoxaux entre ouverture et enfermement

Jade Glavieux

Peu importe l’époque, dans les espaces liés à la folie, le paradoxe d’ouverture et d’enfermement, de liberté et de contrainte est toujours présent. Bien que l’apparition des neuroleptiques en 1952 ait permis la désincarcération des malades mentaux, le paradoxe lui, est toujours là. En effet, la disparition des asiles à permis à d’autres infrastructures de voir le jour, plus petites et dans les villes. On voit également apparaître la prise en charge des malades en ambulatoire. Certains établissements, malgré la volonté de créer un cadre agréable aux malades mentaux, seront de véritables échecs, tels que les hôpitaux villages, tandis que d’autres seront un succès

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